3018 - PARENTS & ENFANTS


3018 : PRIERE POUR QUE NOS FILS ET NOS FILLES SOIENT CAPABLES D’AFFRONTER LES DIFFICILES ÉPREUVES QUE NOUS RENCONTRONS, SPÉCIALEMENT DANS CETTE DERNIÈRE GÉNÉRATION, EN SUIVANT LES CONSEILS DU TZADDIK, TOTALEMENT, SANS DIVERGENCE AUCUNE, ET AINSI NOS ENFANTS FERONT UN KIDOUSH HASHEM (SANCTIFICATION DU NOM) D’UNE TENEUR QU’AUCUN AUTRE N’EUT SON PAREIL DANS LES GÉNÉRATIONS PRÉCÉDENTES.

UNE PRIÈRE DES PARENTS POUR LEURS ENFANTS

Maître de l’Univers, Tu sais que cette génération est la pire des générations qui aie jamais existée. Qui sait ce que le prochain jour amènera. Comment nos fils et nos filles affronteront les épreuves qu’ils rencontreront, qui s’empirent de plus en plus à chaque instant. Les forces du Mal nous arrivent avec un déluge d’I-Phones, et d’internet, et autres outils. Chaque seconde, les forces du Mal viennent à nous avec de nouveaux conseils et révélations –les nouvelles technologies- qui ont le pouvoir de noyer les âmes de nos fils et nos filles dans les profondeurs du marais crasseux des forces du Mal. Il n’y a jamais rien eu de tel dans l’Histoire de l’Humanité : ni dans la Génération du déluge, ni dans la Génération de la Tour de Babel, ni non plus à Sodome, à propos desquels il a été écrit : « toute créature ayant perverti sa voie sur la terre. » (Genèse 6-12). Ceci inclus animaux domestiques, animaux sauvages et oiseaux. Et voilà qui est applicable à présent, puisqu’il n’y eut jamais d’épreuve aussi grande dans le monde ; cette Klipat Zvuv (l’impureté spirituelle nommée Zvuv) a pris le contrôle de chaque garçon et de chaque fille, dont les Rashé Tévot (acrostiche) forment le verset « Consigne ceci, comme souvenir dans le Livre, et inculque-le à Yehoshua’. » (Exode 17-14). Ceci signifie que chacun de nous, sans exception, est tombé dans l’impureté spirituelle de Zvuv, qui est en fait l’impureté spirituelle d’Amalec, force spirituelle d’impureté la plus puissante qui n’ait jamais existé. Et l’impureté spirituelle d’Amalec contrôle à présent tous les garçons et toutes les filles, sans exception, et les souille dans la plus horrible impureté sexuelle, dont ils ne peuvent échapper, car quiconque a mis le pied dans la saleté boueuse de l’ordurière impureté spirituelle, ne peut s’en sortir en paix. Il n’y a pas un seul garçon ni une seule fille aujourd’hui qui peut se relever de l’épreuve de séduction de l’internet ou des I-Phones. Presque personne n’est capable de se relever contre cette effrayante épreuve qui assomme tout le monde dans un fossé de l’Enfer nommé « la Ruine », dont personne ne peut réchapper. Seul celui qui révèle le Vrai Tsadik et suit entièrement ses conseils, sans jamais dévier d’un seul cheveu, à l’image de celui qui se plonge dans le mikvé (bain rituel de purification) n’oublie pas un seul cheveu à l’extérieur, « quelqu’un qui s’immerge dans le mikvé ne devrait pas être comme celui qui s’immerge avec une carcasse (qui contient de l’impureté) dans sa main », ou comme quelqu’un qui retournerait vers HaShem à mi-chemin, ou un tiers ou un quart, et reste encore dans le fossé de saleté, sans prise, et continue de couler sans fin ni raison. Ceci correspond à ce qui est écrit dans la Guémara Baba Batra, p143, « Toi et l’âne. ». Par là, une personne, jour après jour, pas après pas, se transforme littéralement en âne : « la chaire de l’âne devient leur chaire, et la semence du cheval devient leur semence. ». L’impureté spirituelle de Zvuv les a avalés, et l’impureté spirituelle d’Amalec est devenue une chose banale. Tout cela, c’est parce que HaShem Yitbarakh (béni soit-Il) veut spécifiquement, dans une telle génération, qu’il y ait le plus grand Kidoush HaShem (sanctification du Nom) qui n’ait jamais été vu dans l’histoire de l’Humanité toute entière, ni dans aucune autre génération, que ces garçons et ces filles qui n’ont pas encore développé leurs esprits à leur plein potentiel de maturité, et qui ne peuvent clairement pas différencier le Bien du Mal, entre la Lumière et l’Obscurité, entre le permis et l’interdit, entre le pure et l’impure, précisément ces garçons et ces filles soumettront l’inclinaison au Mal et l’annuleront complètement, le reconnaissant dans toute sa sévérité, dans toute sa ruse, dans toute sa fourberie, dans toute sa fraude. Et ils lui déclareront une guerre ouverte jusqu’à ce que plus rien ne subsiste : pour détruire et annihiler, coup après coup, défaite après défaite, comme il est écrit au sujet de Yaël « Elle frappe Sisra, lui fracasse la tête, lui transperce la tempe. À ses pieds, il s’agenouilla ; il tomba ; il succombe. A ses pieds, il se tord, il rampe. Se débat encore- et gît sur place, il disparut. » (Juges, 5-26/27). Shadoud – il disparut- a la même valeur numérique de [l’ange] Meta-T.
Yaël, parce qu’elle sut remporter l’épreuve, mérita l’invisibilité. L’Ange Meta-T s’unit avec elle, et c’est ainsi qu’elle put terrasser, anéantir et totalement briser la tempe de Sisra, comme au moment du Chant de la Mer, lorsqu’Israël mérita d’anéantir, de briser, de mettre en défaite et combattre sans merci tous les Amoréens, les Cananéens, les Hittites, les Jébuséens, soldats qui représentent toutes les forces du Mal de l’origine du Monde, et qui existeront jusqu’à la fin de toute création, qui se renforcent de jour en jour, d’heure en heure. Chaque seconde ils doublent et triplent leurs pouvoirs « tous couverts de guerriers. » (Exode, 14-7). Ils triplent leurs pouvoirs à chaque seconde avec de nouvelles formes technologiques, d’innovations des forces du Mal qui n’ont jamais existé auparavant. Et c’est ce qu’à dit la mère de Sisra : « Pourquoi son char tarde-t-il à arriver ? Pourquoi les trots de ses cavaliers ont-ils du retard ? » (Juges, 5-28). C’est parce que Yaël et Dvorah furent capables de briser, fendre et anéantir tous les soldats de Sisra et Yavin, Roi de Hatzor, et rien ne subsista de l’immense et majestueux campement de 4 billions de soldats, 100.000, chacun en charge de 40.000, ou 40.000 en charge de 100.000. Parce que ce moment où l’être se renforce contre l’épouvantable mauvais penchant qui est généré par Sisra, dont la valeur numérique est deux fois celle d’Haman, ainsi, mérite- t-on « le butin fait de costumes colorés de Sisra, butin de couleurs brodées... redoublement de costumes brodés pour les cous des pilleurs. » (Juges, 5-30). Et de toutes les épreuves du monde, nous deviendront « redoublement de costumes brodés pour les cous des pilleurs », l’inclusion de toutes les couleurs pour toutes les générations.