480 - POUR MÉRITER UN FILS ET POUR MÉRITER D’ÊTRE UNE MÈRE MISÉRICORDIEUSE.
ET QU’AUCUNE PEUR DES HOMMES NE PUISSE ATTEINDRE CET ENFANT.
Maître du Monde, Tout-Puissant, accorde-moi le mérite d’un fils sans aucune souffrance, douleur, ou chirurgie, D.ieu nous en préserve. Et qu’il te plaise de faire des miracles et des merveilles pour moi. Tout comme il est écrit « le D.ieu-Un », « Merveilles sur la mer de Joncs », « Pin’has se leva et pria, et repoussa la plaie. ». Et puissé-je mériter d’être une mère miséricordieuse, par le mérite de Ton Nom composé de 42 lettres, et à travers cela, réalise en nous le verset « et tout s’inversait de telle sorte que les Juifs dominèrent leurs ennemis. ». Et que nous méritions un million d’euros à chaque seconde et à chaque instant, comme il est dit« la cruche de farine ne s’épuisa pas, et la bouteille d’huile ne manque jamais. ». Par le mérite d’Aharon le Grand Prêtre, par le mérite des nuées de Gloire. Tout comme Tu nous sortis du pays d’Egypte « d’une main forte et vigoureuse, avec crainte révérencielle, des signes et des prodiges. ». Et à travers cela, infuse dans cet enfant qui me naîtra, l’essence de l’âme de notre Saint et Sublime Maître (Rabbi Na’hman de Breslev), dont l’âme venait de la lumière cachée de la Création. Et j’aurais un fils qui ne craint rien, comme il est dit :
« N’aie pas peur mon serviteur Yaakov, n’aie pas peur. ». Et il n’aura jamais peur d’aucun homme.